Fiche programme

DOCUMENTAIRE

AU BOUT C'EST LA MER

VIETNAM - LE FLEUVE ROUGE

Documentaire - Sous-titrage -

Résumé

Série documentaire produite par Step by Step, avec la participation de France Télévisions. 2020.<br>Auteurs : François Pecheux, Stephane Jobert<br>Réalisation et mise en images : Stéphane Robert, avec François Pécheux.<br>Producteur : Jean-Baptiste Jouy.<br>Sur tous les continents, il existe des fleuves mythiques, de véritables appels à prendre le large. Ils sont la source des plus grandes civilisations, le refuge de peuples oubliés, un poumon économique et culturel, et de fantastiques éco-systèmes. Baroudeur curieux, François Pécheux part descendre ces fleuves jusqu'à l'embouchure, à la rencontre de tous ceux qui vivent sur leurs rives ou sur l'eau.<br>François Pécheux nous fait découvrir le Fleuve Rouge, au Vietnam. Son voyage commence au nord du pays, au lac Quynh Nhai, un site grandiose. Il y rencontre Wan, une jeune femme de l'ethnie des Thaï Blancs. La descente du cours d'eau se poursuit et apparaissent d'étranges embarcations géantes... Entre arche de Noé, supérette et auberge, ces bateaux, à chaque étape, installent des marchés sur les berges. L'arrivée sur Hanoï à bord d'une barge remplie de sable vient confirmer l'énorme activité industrielle du fleuve. Puis le delta prend forme, la mer est enfin proche. François termine son voyage dans la baie d'Along, la merveille du fleuve Rouge, et sans doute l'une des embouchures les plus majestueuses et visitées au monde.imes, le traumatisme est immense. La reconstruction psychologique est lente et douloureuse et les 10 années de procédure judiciaire à rebondissements ravivent régulièrement les tensions, entre déni et mémoire. Pour se protéger, les habitants ont fait construire des digues. Mais Xynthia a montré qu'elles n'étaient ni insubmersibles, ni indestructibles. La tempête a surtout montré que le combat est inégal, la nature imposant toujours sa loi. Pourtant, des élus pensent le contraire et veulent imposer des projets comme le port de Brétignolles-sur-Mer. Un dossier contesté par les écologistes et une partie des habitants. La polémique prend même une ampleur nationale et apparaît désormais comme un caillou dans la chaussure d'un département qui se vante d'être exemplaire en matière de gestion et de protection du littoral.<br><br>TEXTE LONG<br>Cette série documentaire étudie les conséquences des changements climatiques à travers la planète.<br>En prenant ses fonctions, en 2014, le maire de La Faute-sur-Mer voulait changer le nom de sa ville. La Presqu'île plutôt que La Faute-sur-Mer. La préfecture a refusé. Pourtant, ce changement montrait une volonté de conjurer le mauvais sort ou la volonté d'oublier la tempête Xynthia ! Depuis, voici ce qu'on peut lire sur les panneaux de la ville : La Faute-sur-Mer, la Presqu'île. Un réajustement lexical pour tourner la page de cette terrible nuit du 27 au 28 février 2010. Ce soir-là, la tempête Xynthia s'abat sur la façade atlantique de l'hexagone. Au petit matin, le bilan humain fait état de 47 victimes, dont 29 rien que dans la commune de La Faute. Du drame à l'émoi national, la commune devient, malgré elle, le symbole du manque de préparation des villes face aux événements climatiques. Pour les familles des victimes, le traumatisme est immense. La reconstruction psychologique est lente et douloureuse et les 10 années de procédure judiciaire à rebondissements ravivent régulièrement les tensions, entre déni et mémoire. La commune a érigé un mémorial. Un hommage aux victimes et une mise en garde à tous ceux qui pensent que cela n'arrivera plus. Cette partie sud de la Vendée, le Marais Poitevin, est une terre gagnée sur la mer et par conséquent vulnérable. A de nombreuses reprises, il a été submergé. L'histoire rappelle que ce territoire, façonné par l'Homme, était voué à la production agricole. Mais, avec les premiers congés de 36, la région devient un eldorado pour les touristes et les propriétaires de maisons secondaires qui rêvent d'une vie les pieds dans l'eau. Pour se protéger, les habitants ont fait construire des digues. Mais Xynthia a montré