L'Histoire d'une Vache qui Rit

Née en 1921, dans le Jura, d’une double idée de fromage fondu en portions et d’une image incroyable de tête de vache rouge à boucles d'oreilles, la Vache qui Rit est devenue, en 100 ans, un incontournable de l’agro-alimentaire mondial.

Synonyme de fromage dans beaucoup de pays qui n’en n’avait pas la culture, utilisée dans tous les restaurants indiens d’Europe, déclinée en « light », à la fraise ou à la cannelle selon les continents, conditionnée en portions, cube, boîte, boudin, la Vache qui rit s’est adaptée à tous les climats et toutes les cultures.

L’image de cette vache rouge, hilare et qui porte des boucles d’oreilles est devenue une figure internationale, une icône pop, reprise par de nombreux artistes.

Ce documentaire s’attache à nous conter les origines de ce fromage fondu et de cette image de vache qui rit, inventée conjointement par un dessinateur célèbre à l’époque : Benjamin Rabier et par l’affineur de fromage qui allait la rendre célèbre : Léon Bel.

La force et la longévité de la Vache qui Rit résident dans sa capacité à rester une entreprise familiale, toujours ancrée dans son époque et qui, tout en s’internationalisant, a su rester fidèle à ses origines : le Jura.

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"Centenaire et star internationale, découvrez l’incroyable histoire de la Vache qui rit"

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Une soirée qui se poursuit avec la diffusion d'un second documentaire

UN COMMERCE APRÈS L’AUTRE

Ça se passe à Tonnerre dans l’Yonne, mais aussi dans toutes les petites villes françaises.

Les commerces ferment les uns après les autres, les centres se vident, les places sont désertes. La faute à qui ?

Aux grandes surfaces de périphérie, dit-on ! Pourtant, elles répondent à une demande, celle des consommateurs, la nôtre. Demain, ces zones commerciales seront peut-être elles-mêmes détrônées par le commerce virtuel.
En interrogeant les nouveaux commerçants, pionniers ou résistants, ce film traque ce qui nous réunit au-delà du désir de consommer : le besoin de vivre ensemble.

Comme tant d’autres régions de France, la Bourgogne a perdu ses cœurs de villes. Ce fut plus cruellement ressenti par celles qui avaient conquis gloire et beauté par leur rayonnement commercial.
Ce film explore les enjeux culturels, sociaux et identitaires des métamorphoses du commerce urbain. Il dresse le portrait d’une ville moyenne de l’Yonne.
Aujourd’hui à Tonnerre, le silence est assourdissant. Que se passe-t-il au cœur de cette cité de 6000 habitants à la mémoire si émouvante ?
Il reste des traces d’une période faste, le décor est resté en place le long des ruelles pittoresques et des maisons qui se reflètent dans l’eau du canal. Pourtant, tout ce patrimoine ne suffit plus à faire aujourd’hui une ville. Une société a disparu alors que ronds-points et zones commerciales sont apparus.
Il y a quand même une vie derrière ces volets tirés, il faut peut-être réinventer le commerce sans trop regarder en arrière.
Des parisiens, des artistes viennent, passent, certains s’installent et se joignent à la ville quand elle se réveille pour se rassembler.
Il faut savoir vivre avec elle.