L'important c'est d'aimer

Corentin est toujours occupé. Éloigné de sa famille biologique, il s'est trouvé une famille de cœur. Mais, constamment pris par son travail, il ne s'autorise pas l'amour. Un blocage mental qui ne lui permet pas de vivre son homosexualité librement.

Pour Milan, c'est un vrai parcours du combattant pour s'habiller tous les matins : sous testostérone, son corps change. À travers ses difficultés se dévoile sa lutte avec ce corps qui ne correspond pas à qui il est.

Victime de harcèlement scolaire puis désormais de harcèlement de rue, Océane veut pouvoir vivre sa relation amoureuse librement. Que ce soit dans la rue ou au travail, elle s'efforce de s'affranchir du regard des autres, aux côtés de Giulia.

Le parcours de Donovan est fluctuant. Aux prises avec des questions de genre, il cherche à trouver qui il est réellement. Rejeté par sa famille parce qu'il souhaitait devenir femme, il doit se créer de nouveaux repères dans une société toujours hostile envers les personnes transgenres.

Dans ce film comme dans la vie, Corentin, Océane, Milan et Donovan ne sont pas les porte-paroles d’un mouvement, ni les représentants d’une cause. Ils veulent simplement exister pour ce qu’ils sont et partager leur vision d'un monde plus ouvert et bienveillant. Que ce soit au sein du cercle familial ou dans la rue, ils souhaitent montrer que dans la vie, l'important c'est d'aimer.

▶ L'important c'est d'aimer
Un documentaire inédit de Stéphane Bonnotte et David Perrot
Une coproduction France Télévisions et Dans la boucle productions

Diffusion jeudi 15 juin vers 23.40
Rediffusion lundi 19 juin à 9.05
sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté

à (re)voir sur france.tv

Cette soirée documentaire dédiée à la communauté LGBTQIA + se poursuit avec un second film  :

▶ Unique en mon genre

Un documentaire de Pascale Fournier
Une coproduction France Télévisions et 13 Productions
avec le soutien de la Procirep-Angoa et du CNC.
À (re)voir sur france.tv

Depuis 2016, les personnes transgenres ont le droit de changer de prénom en mairie. En 2019, l’Organisation Mondiale de la Santé a retiré de sa liste des maladies mentales la transidentité. Depuis quelques années des législations émergent et sont renforcées pour lutter contre la transphobie. 

Pourtant, les personnes transgenres ont encore besoin d’être entendues, comprises et accompagnées. C’est ce qu’ont choisi de faire Clara, Martine et Gwenola. Elles ont décidé de mettre leur expérience à disposition des plus jeunes et des familles. Elles-mêmes ont connu un parcours de transition. À Nantes, au sein de l’association NOSIG, elles accueillent des jeunes se questionnant sur leur transidentité et des familles qui essayent d’accompagner au mieux ces bouleversements. 

Diffusion jeudi 15 juin 2023 vers 23.50
Disponible en replay sur france.tv