Outre-mer, et si on bougeait les lignes ?

Comme dans le reste du pays, un nombre croissant d’agriculteurs ultramarins font le choix de convertir leurs exploitations au bio. Une décision qui engage, car le processus  permettant  d’obtenir  le label convoité nécessite de leur part un investissement en temps et en argent.
Où en est-on  arrivé outre-mer en termes de parts de production bio ? La tendance est-elle freinée par le contexte inflationniste ? Le bio peut-il aider  les outre-mer à atteindre leurs objectifs d’autonomie alimentaire ? Permet-il de renouveler les filières d’exportations, de répondre aux inquiétudes des populations en matière de risque sanitaire ?

Sophie Vingadassalom (rédaction de Malakoff), en collaboration avec les rédactions du Réseau des 1^ère, reçoit :

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