PASCAL OBISPO

Le Grand Show symphonique, invité d'honneur : Pascal Obispo

Divertissement - Samedi 28 mai 2016 à 20.55

Pour la première fois, Pascal Obispo sera à l’honneur de l’émission présentée par Michel Drucker. Un numéro spécial où de nombreux artistes viendront saluer le talent de ce chanteur-auteur-compositeur. Pascal Obispo, Michel Drucker, Franck Seurat, producteur de l’émission, et Nathalie André, directrice de l’unité divertissements de France 2, nous en disent plus.

Pourquoi consacrer ce nouveau numéro du Grand Show à Pascal Obispo ?
Nathalie André 
: Plusieurs raisons à cela. On se connaît depuis longtemps, Pascal et moi. Il est, selon moi, un des plus grands mélodistes français. Et depuis que l’émission existe, Pascal manquait à l’appel. Il était impératif que l’émission lui consacre un numéro où il aurait le champ libre sur la programmation.
Franck Seurat : On avait depuis longtemps envie de réaliser un Grand Show avec Pascal, mais pour des raisons d’agenda, cela ne s’est pas fait. On est fous de joie aujourd’hui : Pascal est disponible et il sera accompagné d’un orchestre symphonique. Événement assez rare pour le signaler car ce sera l’occasion de découvrir ou redécouvrir ses chansons sous un angle différent avec les arrangements de l’orchestre.
Michel Drucker : Beaucoup d’artistes ont eu droit à leur Grand Show. Il était donc logique que celui qui a écrit et / ou produit leurs chansons soit aussi invité.

Quelle sera la programmation et comment s’articulera l’émission ?
Pascal Obispo : J’avais une liste de 150 personnes et je n’ai pas pu avoir tout le monde [rires]. Je recevrai, entre autres, Florent Pagny, Christophe Maé, Julien Clerc - qui viendra spécialement d’Angleterre -, Garou, Patrick Bruel, Calogero, Nolwenn, Natasha St-Pier, Bénabar et Vincent Niclo, avec qui je travaille actuellement. J’ai beaucoup de plaisir à préparer cette émission parce que les conditions seront optimales, comme en concert. J’ai, en plus, l’honneur de la présence de Jean-Claude Petit et de son orchestre symphonique. Il arrangera toutes les chansons pour l’émission, comme il le faisait à l’époque et comme il l’a fait avec tous les artistes avec qui il a collaboré.
N. A. : On est toujours dans les conditions du live dans Le Grand Show. Pour nous, c’est important.
P. O. : J’apprécie beaucoup cet état d’esprit car, en tant qu’artiste, je n’ai vraiment pas de plaisir à chanter et jouer d’un instrument sur des bandes play-back. Sur Le Grand Show, on a la chance d’être entouré de grands chanteurs capables de vous procurer de belles émotions, d’être accompagné d’un orchestre symphonique. Alors, autant en profiter.

L’occasion de redécouvrir certaines chansons, aussi ?
P. O. : En partie. Jean-Claude a réarrangé Lucie qui n’avait jamais été orchestrée autrement qu’au piano. Il a rendu une version exceptionnelle. Les téléspectateurs vont redécouvrir mon répertoire embelli par ses arrangements. Mais Le Grand Show va aussi être l’occasion de redécouvrir Jean-Claude Petit, que Michel connaît bien.

M. D. : Effectivement, Jean-Claude a composé le générique de Champs-Élysées, il était le chef d’orchestre de l’émission et m’a rejoint ensuite sur l’émission Stars 90. Il est devenu un grand compositeur de musique de films. C’est une pointure, il a travaillé avec énormément d’artistes. Et pour ce numéro, il revient dans un univers qu’il connaît bien. Je pense que ce sera aussi émouvant pour lui.

Vous avez beaucoup écrit ou produit d’autres chanteurs. Est-ce une façon de se mettre en retrait ?
P.O. : Non, mais j’apprécie beaucoup ces moments de création, en studio, avec des artistes que j’aime ou que je découvre, comme ce fut le cas avec Vincent. J’ai eu envie de privilégier cette facette de mon travail.

Avec le recul, est-ce que vous n’auriez pas aimé garder quelques chansons ?
P.O. : Quand je vois leurs chiffres de vente, évidemment [rires] ! Mais je sais qu’il y a des artistes avec qui je ne peux pas lutter. Je suis très heureux d’avoir donné Savoir aimer à Florent. Si je l’avais chantée, j’aurais vendu 10 000 disques. On ressent beaucoup d’émotions à donner une chanson. C’est un vrai plaisir d’écrire, surtout quand l’artiste est sympa !
M. D. : Et L’Envie d’aimer ?
P. O. : L’Envie d’aimer est impossible à chanter ! Il faut avoir une maîtrise vocale incroyable. Quand je la chante, je suis à mes limites, j’ai les veines qui ressortent [rires] !

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