à la vie à la mort

GIRLSQUAD,un thriller résolument séduisant et captivant, nous plongeant au cœur d’une bande de filles.
Disponible en exclusivité sur france.tv/slash 

SYNOPSIS

Le lycée vient de fermer ses portes, l’été peut enfin commencer !  Chloé, Ruby, Sofia et Constance : le Girlsquad, compte bien profiter des soirées sur la plage. Mais au lendemain d’une fête mémorable, la petite sœur de leurs copains est retrouvée au bord de la route, dans le coma. Au même moment, une mystérieuse Billie surgit de nulle part et sème la discorde tandis qu’un « Voyeur » harcèle les filles sur leurs réseaux sociaux. Tout cela est-il lié ? Qui en veut aux filles et pourquoi ? Le Girlsquad va-t-il résister aux épreuves et aux révélations qui vont se succéder ? 

CASTING
Paloma Vauthier (Billie), Uma Couji (Chloé), Lola Saint-Gilles (Ruby), Apollonia Luisetti (Constance), Mina Boudjani (Sofia), Mathias Barthélémy (Max), Simon Rerolle (Dimitri), Juliette Arnaud (Alicia), Stylane Lacaille (Benjamin), Stéphane Rideau (Arnaud)...

NOTE D'INTENTION DE LA PRODUCTION De Katia Rais : la productrice

« Quand la romancière Estelle Surbranche m’a proposé la série Girlsquad, j’y ai vu non seulement l’opportunité de développer une série romanesque et policière dont les héros sont des jeunes adultes, mais également l'occasion de renouveler les séries ado de 2010 essentiellement américaines (Riverdale, Pretty little liars) en les ancrant dans un univers français, féminin, féministe et post #metoo.

Girlsquad veut à la fois rester dans un ton de divertissement et de rêve, d’action et de thriller, mais aussi parvenir à saisir une certaine modernité. Les thèmes qui préoccupent les jeunes d'aujourd'hui sont au coeur du récit de la série : réseaux sociaux, stalking, amitié forte, soirées, crush, quête d'identité…

Nos personnages évoluent dans un décor paradisiaque, pourtant les apparences sont parfois trompeuses. Dans la série, nous avons voulu assumer une certaine dureté dans les dialogues et les situations, tout en y associant l’univers du suspens et du genre. »